We're not going out of here. | Pangaris

Pangaris Locke
nom complet  ◦ Pangaris Locke. âge, date et lieu de naissance  ◦ 50 années, un 7 novembre 1968, à Holly Springs. origines et nationalité  ◦ Américain pure souche. activité et situation financière  ◦ Éboueur, mais il tire sur les fins de mois car il est dépensier. statut civil  ◦ Célibataire, ne pensant pas à ces choses-là. situation familiale ◦ Seul après le suicide de sa soeur, et de sa mère. traits de caractère  ◦ égoïste - infidèle - manipulateur - menteur - effronté - sournois - avide - avare - pervers - dominant - rancunier - égocentrique - sombre - dérangé - calculateur. groupe  ◦ Local Freaks.

the trees can hear you if you talk to them
Pangaris aime le bois, il espère pouvoir en connaître chaque recoins avant de mourir. Il s'y rend dès qu'il en a l'occasion parce que c'est là-bas qu'il a l'impression de réellement recharger ses batteries. Il n'y a que les bois pour lui procurer une telle sensation. Pas moins qu'hier soir, où il y est allé se promener avec sa capuche sur le visage. Entre les troncs, il a la sensation d'être avec ses semblables. D'être puissant comme nul part ailleurs. D'être invincible, fort, jeune, dans toute sa splendeur. Dans les bois, Pangaris se sent lui-même, compris, encouragé dans toutes ses idées. Il y a toujours une fille dans les bois, l'homme a même la douce impression que parfois, elles l'attendent. Comme à chaque fois qu'il y va se promener un soir de pleine lune, il se passe la même chose. Pangaris finit par se servir de la femme comme d'un simple objet sexuel qu'il peut blesser à son bon vouloir. Puis, les rayons de soleil traversent les feuilles des arbres, comme si le temps était passé à un rythme effréné. La femme, qu'importe laquelle, finit toujours par s'en aller comme si de rien était. Comme si elle avait oublié tout ce qui s'était passé. Alors, Pangaris, il se retrouve à rentrer chez lui avec la douloureuse impression de ne pas être rassasié. Toutes ces nuits, c'est comme si les bois les lui prenaient sans rien lui laisser en retour. Le chuchotement du vent dans les arbres est un appel auquel il ne résiste pas. Pangaris a besoin d'aller se cacher dans sa cabane au fond des bois. Ses pulsions sont aussi récurrentes que ses excursions.

meanwhile a man was falling from space
Une enfance comme la sienne ne mérite pas d'être racontée. Pangaris a été abandonné par ses parents, même s'ils étaient bien présents physiquement. Entre les viols constants de sa soeur aînée par leur père, et l'alcoolisme de sa mère, il s'est retrouvé seul bien trop tôt. Il n'aimait pas l'école et la faisait plutôt buissonnière. Tout ça a attiré une assistante sociale, une fois. Il devait avoir douze, ou treize ans. Malgré leur pauvresse et leurs vices, ses parents ont réussi à mettre dans leur poche l'assistance sociale. Elle est partie, et trois jours après, sa soeur s'est suicidée. Il aura fallut ce malheur pour que les sévices cessent. Mais le père, il a ressenti un manque incroyable. Pangaris se souvient qu'il allait souvent dans les bois pour pleurer. Puis, un an et un jour pile après sa soeur, c'est son père qui est mort. Après avoir trébuché sur une racine, il s'est ouvert le crâne. C'est à ce moment-là que sa mère a commencé à réellement avoir peur du bois, et même de tous les arbres qu'elle pouvait croiser en ville. Il aura fallut attendre les dix-sept ans de Pangaris pour qu'elle passe elle aussi à l'acte, incapable de s'occuper d'un fils qu'elle ne connait pas, incapable de s'occuper d'elle-même. Alors, elle a fait la pire des choses imaginables ; elle s'est pendue à l'arbre du jardin. #lafamille
Pangaris qui n'aimait pas l'école, n'y est pas resté bien longtemps. En fait, dès que sa mère est morte, il a quitté le réseau et a presque complètement disparu des radars du gouvernement. Oh, il est resté à Holly Springs, mais pendant un temps, il n'a ni étudié, ni travaillé, ni eu aucun domicile fixe connu. Il s'était contenté de vivre de délits, de voles, de cambriolage, parfois même de prostitution. Mais ça ne l'a pas empêché de finir là où on dit que les sans-abris traînent pour ne pas avoir froid. Les bois ont plus été un foyer pour lui pendant des années, que la ville elle-même. S'il n'a jamais eu de véritables métiers, il a rapidement fini fiché dans les dossiers de la police. Pour quelques délits qui lui auraient surement rapportés quelques mois de prison, il a préféré fuir. Il a d'abord airé dans les bois, sans savoir réellement où aller. Il s'y sentait bien, là-bas. Pendant ce qui lui a parut quelques jours, Pangaris a même cru y vivre des choses sanglantes mais incroyables. Il en est même persuadé, sans quoi, comment serait-il arrivé de l'autre côté des bois ? Loin de Holly Springs et de sa justice.#lamerde
Il a parcourut les rues de Washington quelques années, en tombant dans les atrocités qui ravagent ses rues. Les drogues, l'alcool, le sexe, rien ne lui faisait peur. Il se jouait de la justice comme s'il connaissait les rues comme sa poche. Sauf que loin de ses bois natals, Pangaris, il n'avait ni la dextérité, ni la force, ni le pouvoir de se battre comme il l'aurait fait là-bas. Rapidement, il se fit arrêter, et enfermer pour une condamnation de vingt-quatre ans, pour pédophilie et agression sexuelle sur mineur. Pangaris, il n'a jamais eu honte de ce qu'il pouvait faire. Souriait, riait, prenait plaisir à entendre parler de ce qu'il avait pu faire par le passé. La sentence ne fut pas lourde, pour un tel crime. Il est passé entre les mailles du filets. Il passa donc douze ans complet derrière les barreaux, et grâce à toutes les remises de peines dont il a eu droit, il en est sorti en homme libre il n'avait que quarante ans. L'enfermement n'est pas une solution pour les hommes de son rang. Imprégné par la noirceur, le vice, et la perversion, il n'y a rien qui pourrait arrêter Pangaris. Ses délires lui sont propres, personne ne pourrait les comprendre. Alors, une fois sortie, il a passé les trois années où il devait rester à Washington sous contrôle judiciaire assez facilement. Il n'a ni pu boire, ni pu se droguer. Il était plus que surveillé, et se trouver un logement ainsi qu'un emploi fut douloureux. Pangaris, comme beaucoup d'ex-taulard, a eu la chance de finir dans une équipe d’éboueurs de nuits. Dès que la période d'essaie fut terminée, il n'a pas hésité une seconde. Le taulard a prit ses cliques et ses claques pour quitter Washington sans se retourner. La liberté, c'est ce qu'il voulait retrouver à n'importe quel prix. #laprison
A bord d'une automobile empruntée à la dernière traînée qu'il avait pu rencontrer, Pangaris avait finit par s'arrêter sur le côté de la route. Il était simplement parti acheter un café, et la fenêtre ouverte, la mélodie des bois, son odeur, n'avait pas mis bien longtemps à faire son petit chemin au creux de son être. L'homme avait simplement abandonné la voiture, et son café, pour s'engouffrer dans ces bois au chant hypnotisant. Comme s'il ne les avait jamais quitté pour s'enfuir d'Holly Springs, Pangaris n'a pas résisté à l'appelle silencieux des arbres de son enfance. Il y a pénétré lentement, mais surement. Il n'en est ressorti après un temps incertain, comme la première fois qu'il avait décidé de traverser les arbres de longs en large. Pangaris n'a encore une fois, pas réellement su comment il était revenu à Holly Springs. Mais une fois dans les rues de cette petite ville sombre, étrange, qu'il avait quitté pour se protéger de la justice, il a su qu'il ne repartirait pas. S'il a d'abord squatter dans des lieux peu recommandables, Oangaris a finit par retrouver un emploi stable quelques semaines après son arrivée. Grâce à un papier chiffonné qui avait volé au vent, entre les arbres du bois. Tel un appel de la nature, Pangaris n'a pas hésité à répondre à l'offre d'éboueur de jour pour la ville. L'employé chargé des ressources humaines n'a pas bien fait son travail, car il n'a demandé aucun justificatif de casier judiciaire. Alors, par cette simple faute, il a été capable de faire la demande pour un logement sans avoir besoin de s'inscrire dans le dossier des délinquants sexuels sur internet. Il dépense son argent entre nourriture, alcool, et drogue. Ce n'est pas quelqu'un qui montre une grande estime de lui-même, et Pangaris n'a rien changé à son mode de vie en revenant ici. S'il est parfois reconnu comme étant le petit garçon triste de l'époque, on le considère plus comme un dérangé, plus qu'autre chose, à Holly Springs. Quoi qu'il arrive, il reste fidèle à lui-même. #lavie
Une unique fois, Pangaris est sorti de ses gonds depuis son retour. Quelques mois après être revenu sur ses pas, il n'a pas su résister à une pulsion malsaine. Une jeune femme dépassant de peu la vingtaine est tombée dans ses filets. Lui se moquait bien de son âge, seul son physique assez juvénile l'avait tenté. Il l'avait emmené dans les bois, là où l'odeur de ces derniers aurait pu cacher l'odeur de la peur qu'elle ressentait. Pangaris, il l'a enfermé dans le sous-sol du vieille maison abandonnée au milieu des bois. Loin, profondément cachée derrière des centaines d'arbres. Il lui a fait vivre les pires châtiments sans faire attention à ce qu'elle pouvait devenir. Il n'avait jamais pris la vie de quelqu'un, avant ce jour, où il a laissé ses vices prendre le dessus. Après de nombreux abus sexuels, physiques, et mentaux, la jeune femme est partie à cause d'une suffocation intense et longue. Elle avait eu le temps de verser une dernière larme, qui s'était mélangée à son sang, avant de souffler son dernier soupire. Pour cacher son crime, Pangaris a seulement écouté la mélodie que les bois jouaient, autour de lui. Indiquant une cachette précieuse ; un trou, sous un vieille arbre aux racines profondes. Il y a balancé le corps sans jamais y revenir, bien que ses pensées n'ont cessé de tergiverser sur cet acte unique. Cet homme aime retourner dans cette vieille maison où il y établie un foyer certainement lugubre mais chaleureux à ses yeux. Il n'y a que dans ces bois que Pangaris se laisse aller à sa véritable nature. N'est-ce donc pas la personnification parfaite d'une bête sanguinaire, qui court sous la lune ? Depuis ce jour, et à chaque fois qu'il en avait l'idée, c'est comme si les bois décidaient de lui offrir une nouvelle proie. Nombreuses sont les fois où il a croisé des femmes à qui il aurait pu faire, tout et n'importe quoi. Pangaris ne s'est jamais gêné, mais ces femmes, elles sont toujours reparties vivantes, et avec le sourire. Comme si elles avaient demandé ce qui leur était arrivé. Alors, Pangaris, il s'est mis à croire dur comme fer qu'elles n'étaient que des offrandes des bois étranges, magiques. Pourtant, à chaque fois qu'il se laisse aller, et qu'il laisse repartir une proie, Pangaris, il repart avec un sentiment de vide à l'intérieur de lui. Comme s'il était aussi persuadé que les bois lui prenaient le dernier plaisir de hanter ses victimes. C'est un homme qui se perd à croire, à vouloir savoir, si la magie des bois est de son côté, où si c'est une punition sans fin. #lamort

honey, i'm not your honey pie
pseudo/prénom  ◦ Marsu âge, pays  ◦ 24, France. avatar  ◦ Robert Knepper. commentaire(s)  ◦ J'adore le contexte, et le concept de votre forum ! autres/dédicace  ◦ Vous avez fait un très joli bébé pour mon petit coeur. smiley préféré  ◦ Y en a tellement, mais